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C’est l’ordre, ma bonne Kate, et je n’y saurais contrevenir.

— Puisqu’il le faut, mademoiselle, je me soumets ; mais c’est donc une correction bien terrible que vous allez m’infliger. Bah ! vous ne me tuerez pas, après tout ; une si jolie main ne saurait être bien cruelle.

Kate se laisse attacher à un fauteuil, avec des courroies qui la maintiennent immobile, je relève ses jupes dans le haut, puis sa chemise, que j’épingle aux jupes, et comme elle n’a pas mis, ou qu’elle a retiré son pantalon, elle se trouve toute nue de la ceinture aux genoux. Son gros postérieur ivoirin semble avoir gagné en rotondité, depuis trois mois ; il s’étale glorieusement épanoui dans un rebondissement remarquable ; la peau, au grain fin et serré, est tendue à éclater sur les chairs rebondies. Je vais avoir de l’ouvrage, pour couvrir ce vaste champ de chair, et si mon plaisir est en raison du volume du fessier, je vais jouir ineffablement pendant mon long travail.

J’ai sur la table des verges de toutes les