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ches aussi, le gros postérieur empourpré semble une lune rouge suspendue dans un ciel d’argent, qui se balance, agitée encore sous la cuisson qui fait palpiter les muscles du derrière meurtri.

On retourne madame Labriche, dont il nous est enfin permis d’admirer le splendide reposoir, superbement bombé, blanc comme la neige fraîchement tombée ; il fait suite à des reins d’un satin éblouissant, et est précédé de deux cuisses d’une architecture remarquable, le tout luttant de blancheur avec les lis les plus purs. On dirait que ce dos merveilleux, qui n’a pas un frisson, est taillé dans l’albâtre. Entre les cuisses écartées, on distingue le centre des plaisirs, entrebâillé, entouré de mèches noires enroulées.

Mrs Switch, dans un coin retire son pantalon, nous offrant de jolies perspectives, aussitôt disparues ; puis elle s’en vient devant l’ottomane, applique deux rudes coups de verges, qui rougissent le blanc satin, sans que le gros derrière bouge d’une ligne. La fouetteuse enjambe l’ottomane, s’installe à cheval sur les reins de la patiente, découvrant un coin de cuisse blanche,