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et John, allumé par cette aubaine inespérée, emporte la dame sur le lit, la renverse sur le bord comme un paquet, lui écarte brutalement les cuisses, et, malgré la défense désespérée de la violentée, il entre enfin dans le sanctuaire forcé, malgré l’étroitesse du contenant et la superbe dimension de l’envahisseur, qui la déchire comme s’il la dévirginisait. En un rien de temps, il usurpa deux fois la propriété de lord Flashington, et il allait bravement recommencer sans coup férir, sans l’ordre de son maître qui veut passer à un autre genre d’exercice.

On ficelle lady Flashington ; on délie les deux femmes de chambre, ficelées ensemble, et le maître et le valet les mettent toutes nues, arrachant ce qui ne suit pas facilement. On attache l’une à un pied du lit, on hisse l’autre sur la croupe de la première ; quand les deux plantureuses gaillardes sont ficelées de façon à ne plus pouvoir bouger, on passe aux deux autres. John déshabille la fille par les mêmes procédés, déchirant ce qui ne cède pas, et quand elle est toute nue, on attache lady Flashington sur une ottomane,