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avait fléchir sur ses genoux pour pénétrer dans le réduit, se redresse, fait perdre terre au fardeau encloué, et pendant qu’il tient sa maîtresse en haleine sur son bâton tendu, Mrs Skin-Tear lave les verges sur le cul qui frémit à l’avance, au sifflement menaçant qui fend l’air.

La verge retombe en cadence, résonnant sur la peau tendue, légèrement d’abord, rosant à peine le satin, traçant de longs sillons espacés. À chaque moulinet du bras, elle se tortille sur la quille. Hercule, inébranlable, ne bouge pas plus qu’un terme ; il enlève et redescend la fouetteuse à chaque coup, puis, il la repose immobile sur sa quille. Bientôt les cinglées retombent sans cadence, la fouetteuse se tortille sur le membre, et elle cesse de fouetter, tout entière au plaisir qui la ravit.

Hercule repose sa maîtresse à terre, et sans sortir de la chaude prison qu’il vient d’inonder, il recommence, ployé sur les genoux ; son jeu érotique, tandis que Mrs Skin-Tear redouble de sévérité. Les fesses de la victime se trémoussent en contorsions plaisantes, et couvrant de