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Quand, d’une main caressante, vous changez en roses les beaux lis d’un blanc satin, votre cœur bat doucement, et ces battements se communiquent par une fibre intime au plus sensible de nos organes qui est délicieusement remué dans sa chaude prison, où, malgré les ténèbres qui l’environnent, rien n’échappe à sa sagacité, de ce qui l’intéresse au dehors. Souvent même, quand le sujet qui reçoit nos soins, est en tout point digne de notre admiration par l’exquisité de ses formes, il arrive que le petit organe pleure de joie, après une attention persévérante et soutenue.

L’événement heureux sera plus prompt, si le petit derrière fustigé de verges, se démène entre vos cuisses nues ; le ravissant contact de la peau douce et chaude de la tendre mignonne, qui vient heurter et se frotter contre le bas du ventre, émeut le petit prisonnier dans sa geôle, et, pour peu que l’on mette son cœur et son âme dans l’action qu’on accomplit, on éprouvera vite des joies suaves.

On peut se procurer de diverses façons de délicieuses sensations, mais le plaisir ainsi pro-