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elle inonde de ses faveurs les lèvres, toujours closes.

— Encore, encore, criait la Lionne.

Mrs. Skin-Tear ramenait Nana ; qui, informée de ce qu’on attend d’elle, se déshabille en un clin d’œil, restant toute nue, avec sa peau d’ébène, ses gros seins noirs de femme faite, un gros cul noir fort large, et riant de ses trente-deux perles blanches. Les deux soubrettes avaient gardé la même posture, Margaret, fermant obstinément sa bouche sous la fente de la Lionne, celle-ci se frottant lascivement sur les lèvres insensibles. Lady Lovebirch n’y comprenait rien après les leçons qu’elle avait données à la femme de chambre, qui, elle le savait bien, en avait profité. Nana s’accroupit devant Margaret, se glisse entre ses cuisses, plonge sa tête noire dans la toison, et commence aussitôt la douce besogne. Mrs. Skin-Tear prend les verges, et se met à les donner sévèrement au gros derrière velouté de la Lionne, qui bondit toujours sur le nez de Margaret ; elle fouette avec un réel talent ; on dirait que chaque coup va entailler les chairs, et pas une goutte de sang ne jaillit ; de temps