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garet, rabat les jupes de sa patiente, la remet sur ses pieds, l’assied à sa place, s’étend sur ses genoux, retrousse ses vêtements sur ses reins, ouvre son pantalon, très-fendu aussi, tient les bords écartés, et dit à la gazelle de prendre le bout de sa chemise dans sa main gauche, en lui recommandant de ne pas l’épargner de la main droite. Margaret soulève la chemise, et découvre à nos yeux deux superbes fesses, brunes veloutées, adorablement potelées. La timide gazelle hésite, elle n’a jamais pratiqué cet exercice, et il lui répugne de commencer en présence de témoins ; elle rougit de plus belle et sa main levée tremble dans l’espace. Sa maîtresse doit la rappeler à l’ordre, en la menaçant de la sévérité.

La pauvrette laisse retomber la main, fessant le gros cul qui ne bouge pas, et qui après deux, minutes de cet indulgent exercice garde sa teinte uniformément foncée.

— Plus fort, plus fort donc, s’écrie la Lionne, impatiente de plaisir, plus fort !

Mais c’est comme si elle chantait, la main se relève et retombe, sans qu’on distingue le moindre bruissement sur la peau. Voyant son