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Alors commença pour la belle fille une vraie torture morale ; elle se dévêtait lentement, obéissant à mes ordres, ôtant un à un tous ses vêtements, en tremblant comme la feuille et rougissant toujours davantage. Bientôt, cependant elle n’a plus que sa chemise et son pantalon, au dessous duquel deux bas de soie rose enferment deux jolies jambes, terminées par deux petits pieds, emprisonnés dans deux mignons souliers. Elle reste debout, émue, palpitante, attendant mes ordres.

— Ôtez votre pantalon, Jenny, et gardez votre chemise.

Retirer son pantalon est toute une affaire, et lady X. et moi nous dûmes l’aider, profitant de l’occasion pour palper les appas fermes et résistants. Enfin le pantalon est rabattu, la belle fille en sort en levant les jambes et découvrant des horizons charmants. Je la conduis vers la chaise, devant laquelle elle va s’agenouiller, comme elle en a l’habitude.

— Non, non, pas ainsi, Jenny, mettez-vous à cheval sur la chaise, en nous tournant le dos.