des principes de ma mère, qui nous fouettait ma sœur et moi, quand elle ne nous mettait pas sur ses genoux, agenouillées devant ou sur le bord d’une chaise ou d’un fauteuil, je donnais souvent, car j’aime bien d’opérer moi-même, ou je faisais donner le fouet de cette façon aux délinquantes de ma maison. J’ai voulu éprouver ce matin, ayant sous la main une occasion superbe, l’excellence de la posture à califourchon, qui me paraissait d’avance remplie d’attraits.
L’occasion se présentait sous la forme d’une plantureuse femme de chambre Irlandaise. Jenny est une superbe fille de dix-huit ans, comme la verte Erin n’en produit pas tous les jours. Blonde comme les épis mûrs, avec des joues de neige rose, le corps garni d’aimables saillies, surtout la partie la plus intéressante pour nous, que j’avais eu l’occasion de découvrir quelquefois, pour lui faire expier quelques peccadilles.
Ce matin, en attendant mon excellente amie, lady X., je me faisais adoniser par Jenny, qui était distraite, au point que je dû la rappeler plusieurs fois à l’ordre ; elle me fagotait affreu-