épaules, descendent le long des reins, fustigent les fesses, qui gigotent et rougissent, puis, ce sont les cuisses, autour desquelles les lanières s’enroulent, froissant la peau, puis c’est entre les cuisses, piquant les lèvres de la fente. Jusqu’ici la victime s’était violemment tortillée, en restant muette. Au premier coup qui froisse le minet, elle pousse un cri aigu, qui recommence à chaque cinglée.
— Ah ! oui, vous êtes plus sensible ici : et justement c’est le grand coupable ; aussi, ma belle, nous allons le punir. Mais ceci c’est du pain bénit, mon cœur, ces indulgentes lanières sont bonnes pour des enfants, mais bientôt la verge et ensuite la cravache pour finir, vont faire passer au coupable un vilain quart d’heure, qui le guérira de ses vilaines envies.
Les lanières descendent, en cinglant les cuisses, les mollets, les chevilles, les pieds ; puis, venant sur le devant, elles remontent par les jambes et les cuisses jusqu’au minet, qu’elles caressent de nouveau rudement, au milieu des cris de souffrance de la victime. Après deux ou