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rabattez-lui le pantalon sur les genoux, et donnez-lui sa chemise à tenir.

La sous-maîtresse obéit ponctuellement, et quand la chemise est relevée, nous pouvons admirer un superbe derrière gros et gras, en forme de pomme, coupé en deux globes potelés et ronds, serres l’un contre l’autre. La maîtresse, armée d’un martinet à douze branches, d’un cuir souple, s’avance vers le postérieur, et sans autre avis, elle laisse retomber de toute la force de son bras les lanières, qui s’abattent avec un bruit sec sur les chairs froissées. Ce nouveau genre de correction n’est pas du goût de la patiente, car au quatrième coup, elle lâche ses vêtements.

— Ah ! oui ; il faut donc vous attacher, Eh ! bien, polissonne que vous êtes, on vous attachera, et vous serez fouettée toute nue. Oui, oui, j’entends, c’est honteux, dites-vous de se montrer nue devant des témoins ; mais vilaine dévergondée, vous n’aviez pas la même pudeur quand vous allez trouver des gamines pour faire vos saletés. Venez ici tout de suite, ou je vous coupe les