Quant à la cravache, lorsque je m’en sers, c’est pour de grandes coupables, et pour les fautes très-graves, mais la correction touche à sa fin quand je l’emploie, et c’est deux, quatre ou six coups que j’en applique ; la souffrance est intolérable, dure longtemps, et la victime se lamente quelquefois pendant des heures entières.
La posture des coupables peut varier à l’infini, suivant la fantaisie de la fouetteuse, il n’y a pas de règle fixe. Cependant, je crois qu’il faut savoir choisir une posture à propos.
Une petite fille est sur vos genoux, ou sous votre bras, pour recevoir une fessée ou la verge, on peut lui appliquer l’une ou l’autre, en lui relevant ses dessous et en lui ouvrant son pantalon, la correction ne devant pas être longue. Si la mignonne est récalcitrante, on lui rabat le pantalon et on la corrige vertement sur son petit cul nu et un peu sur les cuisses, dont la peau plus tendre est très-sensible, pour lui apprendre à bien présenter une autre fois son derrière nu à la main ou à la verge.
On peut aussi, quand la délinquante est