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Quand je jette les verges, la Lionne, qui a laissé retomber ses vêtements, se retourne, les yeux luisants de luxure satisfaite, et, sans me consulter, elle me prend dans ses bras, m’enlève comme une plume, me fait basculer la tête en bas, mes vêtements retournés découvrent mes dessous, et écartant brusquement mon pantalon qui la gêne, elle plonge entre mes cuisses, colle ses lèvres brûlantes sur mon chat énamouré, et retenant ma croupe dans son bras gauche, elle lève sa main droite, la laisse retomber sur mes globes recouverts par la toile, me fessant légèrement ; je craignais qu’elle ne se vengeât sévèrement, et je songeais que cette main de fer venait de tirer là, sous mes yeux, du sang du cul d’une de mes femmes de chambre, rien qu’en la fessant ; mais j’en fus pour ma frayeur, car tout en caressant tendrement mes fesses de sa main glissée sous la toile, elle se livre dans mon four brûlant à un charmant exercice, qui doit lui être familier ; elle y déploie, en effet, toutes les ressources d’une tribade consommée, si bien qu’après trois assauts successifs, je dois