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qu’elle m’aide de tout son pouvoir, ce n’est qu’après de grands ménagements, et avec beaucoup de difficulté, que je force la porte. Quand je suis logé dans le gîte, les mignonnes se redressent, et nous commençons, chacun dans notre coin, la douce manœuvre. Nous allons en cadence, sortant en même temps à mesure que nous poussons, Lola sa machine, moi mon engin, la verge factice, gonflant le canal qu’elle fouille, rétrécit le réduit que je sonde, qui n’en est séparé que par une mince cloison, serrant mon membre à l’écraser. Après un va et vient de quelques minutes, Lola, prévenue, pousse le ressort, et nous inondons en même temps les deux canaux latéraux, qui deviennent encore plus étroits sous l’influence de l’intense volupté, qui tord la comtesse entre ces deux brûlants.

Avant de nous coucher et de renvoyer Lola, la maîtresse, qui n’est pas égoïste, veut que la soubrette ait son tour. Celle-ci, en effet, en meurt d’envie ; elle n’a pas pu prendre part à la fête, le divertissement ayant été mené trop vite. Je veux bien, moi aussi, mais maître Jacques n’est pas en très brillant état. Voyant l’obstacle à la