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figure de la dame repose sur ses cuisses ; Mina s’étend sur le dos de Blanche, la bouche sur le cul ; Lison, agenouillée derrière madame de R., lui chatouille la plante des pieds. La comtesse et sa blonde amie enjambent le groupe, et, à cheval sur les reins de Mina, se faisant vis-à-vis, elles se frottent lascivement sur les chairs nues de la soubrette, l’une froissant entre ses cuisses deux grosses fesses potelées, l’autre le milieu des reins, tandis que, penchées l’une vers l’autre, elles se becquètent amoureusement les lèvres sur les lèvres. Le poids des deux amies pèse sur les trois corps superposés ; les pieds des deux écuyères posant à peine à terre, chaque mouvement qu’elles font tasse les chairs, et fait coller les appas qu’elles écrasent. Mais Lola, qui porte tout le poids, est vigoureuse comme un homme, et le fardeau lui semble léger, car, de mon observatoire, je remarque qu’elle ne modère pas son jeu, et je devine, à l’air de contentement que respire sa figure, qu’on doit lui rendre la pareille. Mina, pressée entre les cuisses de la comtesse, tout en lardant le cul de Blanche, se frotte le chat sur ses reins.