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Mercédès, prise entre ses cuisses, elle la déloge de sa position sur ma figure, nous obligeant à changer d’objectif, appuyant sa fente sur mes lèvres, tout en présentant son cul au baiser de la comtesse. Lèvres pour lèvres, je ne perds pas au change ; celles-ci sont brûlantes et m’offrent, en s’entr’ouvrant, un délicieux régal. Je ne puis pas voir là-haut, dans la glace, le plaisant spectacle, mais je sacrifie volontiers la vue à la douce besogne que j’ai à remplir. Immobile sur le dos, je me laisse conduire au paradis par l’aimable écuyère, qui voyage fort agréablement sur ma quille, tout en lardant la petite tache noire qu’elle a sous les yeux, tandis que, suivant la cadence qu’elle me donne avec ses coups de reins, je promène ma langue dans le charmant réduit, puis, plus vite quand je sens le clitoris s’agiter, manifestant qu’il est bien aise d’être ainsi traité ; et, enfin, précipitant la caresse je le fouette d’une pointe rapide ; je le prends dans ma bouche, je le suce, buvant la douce rosée qu’il sue par tous les pores, tandis que Mercédès, engloutissant le membre jusqu’à la