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comme la Russie, où les verges, autrefois en grand honneur, sont encore d’un fréquent usage. Puis nos beautés se mettent en tenue d’exercice, pour pouvoir procéder librement aux divertissements qui vont suivre. Quand nous sommes au complet, Lola et la princesse sont revenues, les trois soubrettes s’étendent sur le dos, côte à côte, les toisons alignées ; Mercédès, Agnès et Blanche s’étendent sur les soubrettes, renversées, le cul en amant, dans la posture voulue pour un gamahuchage réciproque, les trois derrières bien en ligne. Sophie s’étend en travers des trois postérieurs, allongée, le ventre en l’air, la nuque reposant sur les fesses de Blanche, qui est la première, le cul sur celui d’Agnès, qui est au milieu, et les jambes jetées à droite et à gauche du gros fessier de la comtesse, laissant à découvert la splendide mappemonde, sur laquelle je viens m’agenouiller ; je m’étends ensuite sur le corps de Sophie qui m’aide à l’accoster, en levant les fesses qui retombent sur celles d’Agnès, dès que j’ai enfourné. Le va-et-vient commence, mettant en mouvement ces belles croupes, qui se balancent dans un