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ventre, l’outil enfonce jusqu’au bout, la mignonne reste immobile assise sur ma quille ; et sous les coups qui la cinglent, retombant espacés, je vois les fesses se mouvoir convulsivement, s’ouvrant, se fermant, imitées par le vagin, qui s’ouvre et se referme sur la verge, l’étreignant ou la lâchant, suivant le jeu des fesses que je vois dans la glace. Bientôt le cul va plus vite, le vagin palpite ; et, quand les fesses restent sans mouvement, serrées, contractées, le vagin se tord sur le membre, aspirant, goutte à goutte, la chaude liqueur, tandis que la fouetteuse s’affaisse pantelante, les cuisses mouillées d’une rosée blanche, qui constelle de perles les touffes noires qui ombragent ces bords. Je porte l’écuyère sur le lit de repos, où, se détachant de moi, elle respire un moment. Je la retourne pour baiser la mappemonde fumante ; je constate qu’elle n’est pas trop endommagée, et qu’elle reprendra ses lis avant longtemps.

Pendant que la princesse passe dans le cabinet de toilette avec Lola, j’explique à la compagnie, comment certains tempéraments ont besoin de stimulants, surtout dans les pays froids