notre temps, nous nous dévouons, nous mettant
au service des plus pressées. Sophie,
Blanche et Agnès retirent leur pantalon, et
montent chacune sur deux tabourets rapprochés ;
là, retroussant leurs jupes, elles les prennent
dans les mains, découvrant très haut leurs
appas antérieurs et postérieurs ; la comtesse et
Miss Pirouett, qui sont devant le double autel
de Sophie, la première devant, la seconde derrière,
viennent réjouir les deux joyaux voisins ;
Mina et Lison entourent Blanche ; Cécile et
Lola enveloppent Agnès, pendant que je contemple
leurs ébats. Les deux pourvoyeuses d’amour
de Sophie s’aperçoivent que la mignonne
a besoin de stimulants, car, froide comme un
marbre, elle reste insensible à toutes leurs
caresses. Miss Pirouett se retire de l’embouchure,
lève la main et se met à cingler la
mappemonde ; mais le centre des opérations
est trop élevé, et les claques y arrivent trop
timides, pour produire de l’effet.
On fait descendre la princesse qui vient se mettre debout entre les deux groupes ; la com-