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noux et s’affaissent pantelantes, en roucoulant comme des colombes.

Chacune veut recevoir mes adieux. Conchita d’abord. Dolorès ensuite ; après une reprise, l’une debout, l’autre en levrette, reçurent mes hommages, pendant que toutes les lèvres inoccupées fourrageaient les charmes cachés qu’elles allaient dénicher dans les combles fripant sans pitié les dentelles sous leurs mains impatientes. Après un repos indispensable, maître Jacques redevenu superbe, grâce aux suaves caresses que lui prodiguent toutes ces lèvres en feu, adresse ses adieux à Miss Pirouett. Celle-ci fait étendre Lola et Lison sur le tapis, couchées sur le ventre ; puis relevant les jupes et la chemise, elle écarte la fente du pantalon, et s’agenouille sur les deux mappemondes voisines, un genou entre chaque paire de fesses, au milieu de la raie, enfoncé dans ces moelleux coussins d’une nouvelle espèce. Puis relevant ses jupes par-dessus ses reins, et s’accroupissant pour me présenter son gros derrière elle veut que j’attaque la place d’armes. Je me