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CÉSAR FRANCK

médiaire du final (ce que les Allemands nomment Durchführung) :


\relative c'' {
\clef G
\key d \major
\time 4/4
\override Staff.TimeSignature #'transparent = ##t
\stemUp
r4 cis,4 a' gis | g!( fis) fis g | fis
}



et avoir couronné cette notation du mot commencement, Franck écrit en caractères très accentués : « Il faut une phrase neuve ici, voir le Quatuor en mi bémol[1] ». — Puis vient l’indication : à la fin :


\score {
\relative c' {
\clef G
\key c \major
\time 4/4
\override Staff.TimeSignature #'transparent = ##t
\override Staff.Clef #'transparent = ##t
\override Score.BarNumber #'break-visibility = #'#(#f #f #f)
\stemUp
d2. g4 | g2 f | f2. b4 | b2 a | \break
a2. bes4 | \stemNeutral bes d f!2~ | f!4 e c^"?" b~ | b g f e |
} %relative
\layout{
  indent = 0\cm
  line-width = #110
  \set fontSize = #-1
} %layout
} %score
\header { tagline = ##f}



ce qui prouve que ces esquisses du final furent jetées avant la composition du scherzo dont cette phrase, réduite en rythme ternaire, devint le thème de trio[2].

Immédiatement après se trouve, tenant trois portées, la mention : « Au milieu de la 2e  partie, ou vers la fin, ou avant le retour du commencement du final, réminiscence de l’Andante », et ensuite la musique de cette réminiscence.

  1. L’op. 127 de Beethoven.
  2. Franck avait donné ces esquisses du quatuor à son élève, notre cher et regretté camarade Ernest Chausson. Mme E. Chausson a bien voulu m’autoriser à en reproduire ici quelques fragments.