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la mer. Ayant appris que Wenn wang était devenu puissant, il se leva et dit : « Pourquoi n’irais je pas vivre sous ses lois ? On m’a dit que le Prince de l’ouest soigne bien les vieillards. »

« Ces deux vieillards étaient les plus marquants de l’empire, et ils se soumirent à Wenn Wang ; c’étaient comme les pères de l’empire qui se soumettaient à lui. Les enfants à quel autre auraient-ils été ? Si un prince gouvernait comme Wenn Wang, dans sept ans il gouvernerait certainement tout l’empire. » (Wenn Wang allant à la chasse, rencontra T’ai koung qui pêchait à la ligne. Il reconnut sa sagesse ; et le fit nommer ministre).

14. Meng tzeu dit : « K’iou (Jen Iou) était intendant de la maison de Ki. Il ne parvenait pas à corriger son maître de son avarice. Ki exigeait en tribut deux fois plus de grain qu’auparavant. Confucius dit (à ses disciples) : « K’iou n’est pas mon disciple. Mes enfants, battez le tambour, attaquez le ; cela convient. »