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comme s’il s’agissait de prendre sous le bras le mont T’ai chan et de traverser la mer du nord ; c’est par défaut de volonté, comme s’il s’agissait de casser une branche d’arbre.

« Si je respecte les vieillards de ma famille, et que peu à peu je fasse respecter les vieillards des autres familles ; si je donne des soins affectueux aux enfants et aux jeunes gens de ma famille, et que peu à peu je fasse donner les mêmes soins à ceux des autres familles ; je pourrai faire tourner l’univers sur ma main. Il est dit dans le Cheu King : « Wenn wang fut un modèle pour son épouse ; il forma ses frères à son exemple ; enfin il régla toutes les familles et le royaume. » Ces paroles signifient que Wenn wang montra sa bienfaisance, qu’il l’exerça envers sa femme, ses frères et tout le peuple, et ne fit rien de plus.

« Ainsi, il suffit d’étendre sa bienfaisance toujours de plus en plus, pour établir et maintenir le bon ordre dans tout l’empire. Celui qui n’étend pas sa bienfaisance, est incapable de donner les soins nécessaires à sa femme et à ses enfants. Une seule chose mettait les anciens princes au dessus des autres hommes : ils excellaient à étendre, à faire