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14. A la mort de l’un de ses amis, s’il n’y avait aucun parent pour prendre soin des funérailles, il disait : « Je me charge des obsèques. » Quand il recevait des présents de ses amis, fût ce des voitures et des chevaux, il ne faisait pas de salutation (en signe de remerciement), à moins que ce ne fût de la viande offerte aux défunts.

15. Couché pour prendre son repos, il ne s’étendait pas comme un cadavre. A la maison, son maintien n’avait rien de trop grave. Lorsqu’il voyait un homme en habits de deuil, fût ce un ami intime, (par politesse) il prenait un air de compassion. Lorsqu’il voyait un homme en costume officiel ou un aveugle, même en particulier, il ne manquait pas de lui donner une marque de respect. Lorsqu’il était en voiture, s’il voyait un homme en grand deuil, il mettait les mains sur l’appui de la voiture et saluait par une inclinaison de tête. S’il rencontrait un homme portant les tablettes du cens, il le saluait de la même manière. Quand on lui avait préparé un grand festin, il se levait et remerciait le maître de la maison. Quand le tonnerre grondait ou que le vent se déchaînait, l’air de son visage (témoignait son respect envers le Ciel irrité).