Page:Courier Longus 1825.djvu/262

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

 

P. 154, l. 19. « Quelque chanson de chevrier. »

Lisez dans le grec συρίσαι τι αἰπολικόν. Br.

P.155, l. 14. «Non pour cela Gnathon... »

C’est la phrase d’Amyot. De même, Vie de Phocion : « Ces dons que le roi lui envoyoit, il les refusoit tous, disant : Qu’il me laisse être homme de bien. Non pour cela les messagers ne cessoient d’aller après lui. » Et dans les Cent Nouvelles Nouvelles : « Non pourtant assez bonne pièce après il dit.... » C’est l’italien non pertanto, et le grec οὐ μὴν ἀλλά. Dans la Vie de saint Louis : non pourquant.

P. 158, l. 15. « Un sayon neuf, une chemisette et des souliers. »

Plaute, dans l’Epidicus : soccos, tunicam, pallium tibi dabo. Tout cela est imité d’Homère, dans l’Odyssée :

Ἔσσω μεν χλαῖνάν τε χιτῶνα τε, εἵματα καλά,
.................δώσω δ’ ὑπὸ ποσσὶ πέδιλα.

P. 162, l. 3. « Celui qui aime, ô mon cher maître... »

Amyot gâte tout cet endroit. Ceux qui l’ont voulu