Page:Courier Longus 1825.djvu/211

Cette page a été validée par deux contributeurs.
211
NOTES.

P. 28, l. 2. « Mettre la main sur Chloé. »

Amyot : « Attenter de jouir par force de Chloé ; » grossièreté qui n’est point dans le texte.

P. 28, l. 6. « Il usa d’une finesse de jeune pâtre qu’il étoit. »

Amyot : « Il imagina une finesse merveilleusement sortable à un gros bouvier comme lui. » Dorcon n’est point un gros bouvier, et il n’y a qu’un gros évêque tel qu’étoit Messire Jacques Amyot, qui puisse entendre ainsi Longus.

P. 29, l. 7. « Elle amenoit boire les deux troupeaux. »

Amyot : « Chloé amenoit ses bêtes boire. » Un peu plus bas il dit de même : « les chiens suivoient le troupeau. » Il n’a fait aucune attention au texte ni à la narration, et il n’a pas vu que Chloé menoit seule les deux troupeaux.

P. 29, l. 12. « Comme naturellement ils chassent. »

Écrivez dans le texte, οἷα δὴ κυνῶν… περιεργία. Euripide, dans les Héraclides : πάρεσμεν, οἷα δὴ γ’ἐμοῦ παρουσία. Br.