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Paragraphe cinquième

pu prendre son parti du déchirement de la France par les hérétiques. « Cela, non seulement, parce que, évêque catholique, il savait qu’il tenait la vérité ; mais encore c’est un si grand bien pour un peuple que l’unanimité religieuse, qui entraîne l’unité de l’éducation et des mœurs, et par là double les forces de la communauté, et même la rend plus heureuse par la paix de l’esprit ».[1]

Et c’est parce que nous possédons cette paix de l’esprit qui nous vient de l’unité de notre foi, que nous ne voulons pas la laisser entamer par les francs-maçons, et c’est pour la conserver intacte que nous ne voulons pas les tolérer dans notre pays.

Mais ces paroles sont encore suggestives du devoir de l’heure présente : Faisons la lumière, nous disent-elles, le plus possible autour de nous. Nous comprendrons mieux certains faits encore obscurs, et nous pénétrerons plus avant dans certains hommes dont le regard est faux et la conduite assez louche. Nous écarterons ensuite, de notre vie nationale, ce virus qu’on a voulu lui infuser.

Ne nous laissons pas arrêter par la répugnance, ni par une fausse discrétion. Le devoir

  1. Op. cit.