3°. Le danger couru par la flûte le Golo, en sortant du port de Toulon. ( Ce fut le lieutenant en pied qui la sauva.)
4°. Le danger couru par la flûte l’Éléphant’, qui, trois ou quatre jours après sa sortie de Rochefort, perdit ses trois mâts, et fut les faire réparer à Plymouth. (Les officiers sous les ordres da capitaine, sauvèrent encore ce bâtiment.)
5°. Idem de la flûte la Licorne, sortant de Brest pour se rendre à Rochefort, et qui se trouva, quinze jours après son départ, sur les îles Canaries. Le capitaine fut obligé de confesser son ignorance à ses officiers, qui le ramenèrent, lui et son bâtiment, dans le port de Rochefort.
6° Du brick le Lynx, qui courut, dans la Manche, d’écueil en écueil, et qui ne revint en France : que par une espèce de miracle, etc., etc.
A. CORRÉARD.
Paris, le 21 avril 1819.
On a passé à l’ordre du jour.
Au sujet de ce procès, voici comment s’exprime M. Lobbe de Montgaillard dans sa Revue chronologique de l’Histoire de France, pag. 728 et 729.
« Un longue inactivité a trop rendu nos anciens officiers inhabiles à paraître sur cet élément qui s’était