Page:Corneille, Pierre - Œuvres, Marty-Laveaux, 1862, tome 10.djvu/92

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

S’il veut ternir un ouvrage immortel,
Qu’il fasse mieux. 15

Omnibus invideas, livide ; nemo tibi[1].


  1. « Que tu portes, jaloux, envie à tous, et personne à toi. » C’est le second et dernier vers de la xlie épigramme du livre I de Martial. — Selon toute apparence, c’est ici à peu près que devraient se placer, suivant l’ordre chronologique, les six vers que Corneille adresse à Pellisson pour Foucquet dans la lettre xxii. Voyez ci-après les Lettres, à la suite des Poésies diverses et des Œuvres diverses en prose.