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��pansement sommaire, à base de simples ( m, lt).470>. — Pour les chefs et les rois, c'était autre chose, si l'on s'en rapporte à quelques çlôkas du Bhîs'mu Parva (vi, 5745-9). <r Des médecins, versés dans Tari d'extraire les flèches, instruits avec soin par des maîtres habiles, s'approchèrent, munis de leurs instru- ments... A leur aspect Bhîs'ma dit : Traite avec douceur ces médecins et congédie-les. après que tu les auras gratifiés d'un riche don... Dans l'état où je suis qu'ai-je à faire ici de médecins ?... Duryôdhana de congédier les médecins, après les avoir honoFés. suivant qu'ils en étaient dignes. »
Les géants en présence ne dédaignaient pas, leurs armes jet'^es. de s en remettre à la seule force de leurs bras athlétiques, et de s'enchaîner dans des étreintes souvent mor- telles : les écrasements entrent donc pour une notable part dans les lésions qu'il nous reste à parcourir. « Vaka, écrasé sous Bhima ». baigné de sang, <* a le corps et les flancs brisés. » fi. t).295K A chaque instant s'élève dans les combats le bruit des chairs broyées, triturées un. 11. 510). et des os rompus (m. 16<J7, 887i). mêlé à des soupirs de suffocation; les victimes tombent, sans respiration, sans mouvement » du. 1613). Les bras, la clavicule sont brisés (vi, I705i, la tète broyée par les pilons, ou arrachée. (1) irii. 1 1.520) les membres écrasés parles massues (vi. 2795. 4.377) ou (n les leviers de fer ii (vu. 531 ), Les Raxasas. véritables vampires.» déchirent la peau et brisent la moelle épinière » (vii. 1.970). pour sucer le sang, la graisse et la moelle des héros.
Notons en passant un cas de fulguration, celui de l'ana- chorète Triçirasas (V. pi. h.).
En dehors des plaies et blessures, nous ne rencontrons dans la Hhàratide que très peu d^atfections chirurgicales : la reten- ti) Iji».^ ti'ti" Mri"i«*h<"'i» |iai- niiiiii.i-«"'ii.i. r«mlr «Mirni»' |i-«. yru\ «■( iihh'iI m'> lrvr»*s. au «in-' du }»oi*li'.
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