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quel calme règne, au milieu des scènes les plus remuantes, sur ces mâles physionomies, que le souffle impétueux des tempêtes a halées, et que l’air brûlant des tropiques a bronzées ! Mais vous ne savez pas quelles tempêtes profondes cachent ces figures si mâles et si impassibles, ni quels combats agitent ces âmes qui grandissent avec des périls toujours croissans ! Vous ignorez combien de victoires ces hommes, que vous croyez si froids, ont remportées sur la peur, sur la mort, qui se montre sans cesse à eux sous ses formes les plus terribles, avant qu’ils ne se soient fait ces visages inaltérables, où vous puisez la confiance et le courage qui vous