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fi bic au v>f, la chose.quc ZcuGs mêmes, enorgueilli, & enflé déjà, du iugement des oifcaux, lui dit.orr le üttfitd que ie yoie U peinture. Vrai quC foudain reconnut son erreur. & donna franchement 1 honneur de la viftoire, i Parrhafie.d’aurant qu’il auoît feulement dcccu les oifcaux, mais son ^ auerfairc, Parrhafie, auoit trompé il» • t A xxxwuae.. 1 ouuncr, & le maître. ^ AD Kl an. POYRQ.YOI DIS TV CELAÎ £PiCr£T£. « rriim pom4 d’AVTANT Q.VE KOVS VOlONS DES POMMES PEINTE S, .DES F L E V R S, DES .«irnfM, BETES, DE L*OR ET DE L* ARGENT. TOVTEFOIS CELA n’eT PAS VRAI. ^ ▼•rJf AN NOtAClON. LES anciens, dit Pline, peignircnt les herbes, ou leur femblancc, Sc feinües,