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Quxihomminouijfe d.-ttum eft7 (us’liflfj, Vopifque récite, que Probe l’Empereur, s’attendant d auoir paix aueq les ennemis, disoit. i’efpére en bref, que n’aurons plus befoing des Soldats, ni Gend’armes. mais q nous yopifque viurons tous, cn tranquile liberté en U rie de pOUf laquelle anucrir, les Chrétiens Probe Ctoi ■ • • • f-v« perçut, deuroient incelsamcnt cncr a Dieu, ^ NttUa fdus bcÜoj pdcem tepojcimud omnes L ZJfdaJZ Pénétrât toutefois plus outre, ôc sans atUti. s’arrêter, à la paix externe, d’entre les hommes, demâder la rcconciliacioh aueques Dieu, laquelle dône la vraie paix.c’ct à dire le repos cn noz esprits, & consciences. car tandiz que nous nous Tentons enfans d’ire, ôc faits par nature, ennemis de Dieu, notre esprit et cn continuelle peine, Sc inquiétude, mais aufsi dez que nous venons d connoître, notre bon Dieu appaisé.