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EPJCtEte* Epxct. jîVïixi’iLE DE i’empire ; depen# Murta mperq, Dtfen SEVR DE LA PATRIE» SERVI# Jhr pAtrU, TVDB HONORABLE» SIGNE Dl Clorio/Afi, PUISSANCE. uttue. Pote-ÛAtU ittds» AN NOtAClON. E N l’oraison que Cicéron eut T . , ^ « J / « CeuttATMeo pour L. Murene. il taxe aigrement Sulpice lurifconfultc, qui préféroit l’cxcrcicc, 8c dignité des Aduocats, ’. aux Soldats,8cGend’armes.Tu veilles, dit il, la nuit, pour répondre aux parties qui te demandent conseil : lui pour conduire dextremcnt, 8c aifccment l’armceXcs coqst’éucillcnt :8c à lui, le son des trompes.Tu dreffes la formule del’axiô :8c il meteq ordre, rarmee, pour côbatre. T u prenz garde, que res parties, ne soient furprifcs : 8c lui que les villes, ne soient prises,