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foudcnt en vie . Sc quand sommes > morts, Sc abandonnés, du réfte de la nature, nous reçoit, Scnous cmbrafle ; mérite non seulement, être appelée dépêfiere de la vie, mais encor notre grand mcre, Ma^iaparens terra liure i*de Mais quelle mcre ? humaine, douccj’ PPr"’ gracicufe, & paisible. qui iamais ne se courrouce, ni offence l’homme

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L’eau furi bonde, excite tormcntesÿ tempêtes, vents, Sc orages. dêquels fouuêtefois les hommes font engou- 1 frésjSc noiés.L’air s’epcfsit cn nuees, ’ ou brouillars, & se réfoult en pluies, au détriment dc l’homme. Le feu exerce ses cruelles forces, contre les humains, il détruit.il ruine, il confume. Mais la Terre (ô grande bonté élément 1) toujours bénigne, clémente, libérale : fait office cnucrs ses