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n ont point receu(dit S .Pol) l’efpnt . dc fcmitude, pour être cncor cn crain * te ailleurs, Dieu ne nous a point ^ donné esprit de crainte, mais de ver- * * tu, dc diléxiô, & : fobrieté i.Etnul hô- ^ me de sens, (àinfiquc Scnequc cnfeigne) craint les Dieux, partant que iA« <i.i, c’êt vne folie dc craindre, les choses, qui nous font bonnes, 61 falutaircs. ioint qu’on n’aime pas volontiers, ce qu’on craint 11 i a toutefois vne au- ‘ A ^ Sentqueàm trc crainte, qui et filiale, & : bonne, & À Mes heni. la première chose, dit Statius, qu’a fait les Dieux cncc monde. ^ Primus in orbe Deos, fecit timor.

De laquelle parloit lob, quand il disoit. La crainte du Seigneur, êt la vraiëfapience7& foi retirer du mal, 7 êtrintclligcncc K ic Salomon, quâd^‘’*^* il dit.lc commcnccmêt dcfapience, êt Crainte du Seigneur. ic connoître