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li, que ce mot -</ ?<*, ne signifie autre chose, qu’un lieu fort échaufé, d’un feu artificiel, qu’ores nous appelons poallcs, ou étuucs feiches y ou chaudes. Et qu’aux bains antiques il i eut iadiz diftinxion des chambres, tcmperces cn chaleur, & dc plus chaudes. Scnequc l’exprime difcrtemcnr, ’ quandil louë. m- 1. i yulcm, falubrem tempera turam BalncofS, mn lune qua nuper inuenta est/imdü inctdio, adeo qmdem yt conuiâium in aliquo fcclere ferHHm, ymum lauàri oporteat.nihil mihiyideturintcre [se, ttrdtM balneum an caleat’.. sme^ue m ^*‘5 pourquoi Epidctc icL, a acco pagné ce mot^<, dc/’«/r>-«»t<w«, i’âi certes trauaillé longuemêt de l’enten dre, & quelque fois peméi que cette loge d étuuc fciche, fut fclonles ncf. ccfsitcs occurrentes y portât île, d’utt lieu, à autre. Sc par. ainsi àpcrftrmdo.