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dauantage, la mort être fi certaine, i tous, quc mêmes les Dieux, bié qu’ils aiment, ôc cherissent quelqu’un, sur tous autres, ne le peuuét ils pourtant excptcr, ne deliurer de mourir. At yero mortem comuniter omnibus sequam, A dileSio homint ntque Dij depeüert poffunt-., Et c’êt CC que Scneque, écrit aufsi. que la mort, appelé à foi, toute ame viuâte.à laquelle, ou soient lesOieux courroucée, ou fauorables, il conuiéc ncccflaircment mourir^ ^ It/emu nequeerùm tmebrk Diana pudicum ^iZZdét"‘ —Liberdt Hypolitum i. quaftiom Et bien, que la mort dclaiê, quelque fois l’cxccucion dc ses forces, toutefois elle, en fin, ne manque iamais. ode 7. Socratn Dont Socrates, quant onluidcnôça, 7, ’ZZZ, ,. condamné par les Athé- ta Je au niens, à la mort.Et eux dit il, font cô- tZlêZ. damnés infailliblement, par nature