logis. Le Petit-Russien, avançant la main tout doucement, le saisit par le υιτ : « Ah ! monsieur le militaire ! Il dort, et cela ne l’empêche pas d’introduire son υιτ dans un κον qui ne lui appartient pas. ― Qu’est-ce que tu fais, fils du diable ! » commença à crier le soldat : « pourquoi m’empoignes-tu le υιτ ? Je ne permettrais pas cela à ta femme, encore moins à toi ! — Et pourquoi, monsieur le militaire, fourres-tu ton υιτ dans un κον qui n’est pas à toi ? — Mais est-ce qu’il est entré là ? — Je crois bien ! J’ai même eu assez de peine à l’en retirer. — Quel effronté paillard ! Eh bien ! je vais lui donner une bonne leçon pour lui apprendre à ne plus se fourrer dans un trou où il n’a que faire ! »
LVII
LE SOLDAT ET LA PETITE-RUSSIENNE
n Petit-Russien se rendait à la ville avec sa
femme et son fils dans une charrette attelée de
bœufs, tandis qu’un cuirassier était en train de forniquer
avec sa jument attachée à un arbre de la
route. « Qu’est-ce que tu fais, soldat ? — Le cheval
que le gouvernement m’a donné s’est luxé la