maraude, fut pris au piège et y laissa la vie. Le pope ressentit vivement cette perte, mais, ne pouvant ressusciter son chien, il en acheta un autre. « Comment faire, » se dit-il, « pour que le nouveau n’ait pas le sort de l’ancien ? » En même temps il voulait faire une niche au moujik. À la fin une idée s’offrit à lui : il se dirigea vers la remise, ôta son pantalon, grimpa jusqu’à la fenêtre et se mit à χιερ sur le piège. Mais soudain le ressort se redressa, étreignant avec force les τεστικυλες du pope, qui commença à jeter les hauts cris. Le moujik accourut. « Ah ! fils de putain, » vociféra-t-il ; « quel diable t’a amené là ? Ah ! la sotte engeance. » Un rassemblement se forma ; tant bien que mal on dégagea le pope, mais il expira immédiatement.
XL
LE POPE, SA FEMME, SA FILLE ET SON OUVRIER
n pope se disposait à prendre un ouvrier :
« Aie soin, pope, » lui recommanda sa
femme, « de ne pas engager un homme qui tienne
des propos orduriers ; nous avons une fille nubile !
— C’est bien, mère, j’y ferai attention. »