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au moins autant de fois dans l’intervalle (i„ Q que l’intégrale

, ’, ... « = C (sin(zv/N-l-C 2)

de I équation

(Pu T ^ F -+-N M = o,

et, au plus, autant de fois que l’intégrale de 1 équation

^ 2 -

■^H-M* = o.

Ces propositions généralisent celles que l’on connaît dans la théorie de la décharge des conducteurs à C, R, L constants ; la fonction v’x) dans ce cas se réduit à la quantité connue

G 4L

dont le signe joue le rôle essentiel pour le seus du phénomène.

Ces propositions expriment aussi les conditions d’expérience à réaliser pour que la décharge, lorsque C, R, L sont variables, soit continue ou oscillante.

On aurait des résultats analogues dans le cas où le conducteur est relie a une source à différence de potentiel constante ou variable Et en ut.hsant les résultats connus aujourd’hui sur les équations linéaires, on peut taire une étude détaillée du phéuotnène. »


PHYSIQUE. — Décharge par les rayons de Rôntgen. — Role des surfaces frappées. Note de M. Jean Perrin, présentée par M. Violle.

I. J'ai montré que les rayons X déchargent, sans le toucher, un corps placé dans un gaz en repos s'ils rencontrent, dans ce gaz, des lignes de force émanées du corps. Alors la nature des gaz intervient, mais non celle du corps chargé. Quand les rayons touchent ce corps, les lois données ne suffisent plus. On se rappelle, en effet, que MM. Benoît et Hurmuzescu ont montré que la nature des métaux rencontrés intervient dans la vitesse de décharge. Il y a là un effet nouveau qui, comme on le verra plus loin, s'ajoute, sans