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Pages.

entièrement décomposé par la chaleur rouge. 
 192
Carbone. — Procédé employé par M. Boussingault pour doser le carbone qui existe dans l’air, à tout autre état que celui d’acide carbonique 
 87
Carie des céréales. — Expériences sur le développement du champignon qui produit cette altération ; par M. Philippar
 418
Carrés. — Mémoire sur la formation des tables des carrés et des cubes ; par M. Lescure
 151
Cartes et plans, à lever dans l’expédition de la Bonite
 378
Carte du Péloponèse et des Cyclades ; par M. Puillon-Boblaye
 191
Cartes du Japon levées par des ingénieurs japonais. 
 193
Carte du lac de Titicaca et d’une partie du grand plateau des Andes ; par M. d’Orbigny
 209
Carte géognostique du département de la Vendée ; note sur cette carte ; par M. Rivière
 237
Carte géologique générale de la France exécutée sous la direction de M. Brochant de Villiers, par MM. Élie de Beaumont et Dufrénoy ; notice sur cette carte. 
 423
Centre des forces parallèles. — Recherches sur ce qu’il y a d’analogue à ce point dans un système à forces non parallèles ; par M. Minding
 282
Céphalotribe. — Instrument pour broyer la tête du fœtus mort dans l’utérus. L’inventeur, M. Baudelocque, annonce l’avoir appliqué avec succès dans deux cas récents d’accouchements qui n’avaient pu être terminés par le forceps. 
 23
Cerf-volant (lucanus capreolus). — En disséquant un cerf-volant femelle, M. Aubé trouve dans les canaux nommés communément canaux biliaires, deux petits calculs, que M. Audouin reconnaît pour être composés presque entièrement d’acide urique. Déductions de cette observation relativement aux usages des prétendus canaux biliaires des insectes. 
 442
Cerveau. — De l’organotomie, considérée comme un moyen de connaître les fonctions des organes dont le cerveau est composé ; par M. Fourcault
 329
Chaînes de montagnes. — Opinion de M. Prevost sur la cause qui a présidé à leur formation. 
 462
Chaleur animale. — Second mémoire sur ce sujet, par MM. Becquerel et Breschet. Expériences sur différents cas pathologiques. 
 28
Expériences à faire, dans le cours du voyage de la Bonite, sur la température des mammifères, des oiseaux, des reptiles et des poissons. 
 377
Chaleur de la terre près de la surface. — Ses inégalités diurnes et annuelles correspondantes à celles de la chaleur solaire ; note par M. Poisson
 30
Chaleur rayonnante. — Recherches expérimentales sur la réflexion de la chaleur rayonnante ; par M. Melloni
 300
L’identité des agents qui produisent la lumière et la chaleur rayonnante, paraît à M. Melloni une hypothèse inadmissible. Expériences et observations à ce sujet. 
 503
Chlorure d’oxide de sodium. — Son emploi dans le traitement des fièvres intermittentes ; M. Roche réclame la priorité sur MM. Munaret et Lalesque, qui ont l’un et l’autre présenté, pour le concours Montyon, un mémoire sur ce mode de traitement. 
 109
Choléra-morbus. — M. Piette soupçonne qu’un agent impondérable acide est le principe de cette maladie, et prescrit une méthode de traitement fondée uniquement sur cette hypothèse. 
 53
M. Carde regarde le choléra comme produit par des miasmes répandus dans l’air, et qu’on peut détruire au moyen de feux allumés ou de fusées volantes. 
 53
M. Scoutetten, chargé par le Ministre de la guerre de se rendre à Alger pour combattre le choléra, demande à l’Académie de lui signaler les recherches qui semblent devoir attirer plus particulièrement l’attention des médecins. 
 71
M. Larrey lit une notice sur l’épidémie du choléra-morbus qui a régné dans les ports méridionaux de la Méditerranée et dans toute la Provence, dans les mois de juillet et d’août 1835. 
 140
M. Serres fait des objections contre quelques expressions de la notice précédente, qui ne lui semblent pas assez claires, et pourraient faire supposer que l’auteur considère la maladie comme contagieuse. 
 143
Théorie du choléra, et plus particulièrement de l’influence de l’électricité sur la production de cette maladie ; par M. Couverchel
 237
Singularités dans la marche de cette maladie à bord du vaisseau le Triton ; elle a sévi sur les classes aisées, à habitudes régulières et à logement bien aéré, tandis qu’elle a épargné, en général, les hommes qui habitent des lieux mal aérés et humides. Lettre du capitaine Baudin, etc. 
 254