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Par les observations de du Dragon :
Nutation solaire
0″,42
Constante de l’aberration
19,74
Parallaxe
−0,03
Par les observations de de la Grande-Ourse :
Nutation solaire
0″,58
Constante de l’aberration
20,68
Parallaxe
0,10
Par les observations de du Cygne :
Nutation solaire
0″,56
Constante de l’aberration
20,31
Parallaxe
0,50
Par les observations d’Arcturus :
Nutation solaire
0″,44
Constante de l’aberration
19,81
Parallaxe
0,44
Par les observations de de l’Aigle :
Nutation solaire
0″,96
Constante de l’aberration
21,19
Parallaxe
1,73

Les valeurs inexactes de la nutation solaire et de la constante de l’aberration données par les observations de de l’Aigle, déterminent Brinkley à ajourner toute conclusion sur la parallaxe de cette étoile.

Sur les distances polaires des principales étoiles fixes.
(Lu à la Société royale de Londres le 18 décembre 1823 ; imprimé dans les Transactions philosophiques de 1824.)

M. Pond avait tiré de la comparaison de ses deux catalogues de 1813 et de 1823, la conséquence que toutes les étoiles ont, plus ou moins, un mouvement dirigé vers le sud. Brinkley ne croyait pas à ce mouvement ;