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Francine. — V. Cottin (Francine).

François (L’abbé), curé de la paroisse, à Alençon, en 1816. — « Cheverus au petit pied », il avait prêté le serment constitutionnel sous la Révolution, et, par cette raison, il était méprisé des « ultras » de la ville, quoiqu’il fût un modèle de charité et de vertu. L’abbé François fréquenta M. et madame du Bousquier et M. et madame Granson ; mais M. du Bousquier et Athanase Granson étaient seuls à bien l’accueillir. Dans ses derniers jours, il se vit réconcilié avec le desservant de Saint-Léonard, l’église aristocratique d’Alençon, et mourut universellement pleuré (La Vieille Fille).

François, premier valet de chambre du maréchal comte de Montcornet, aux Aigues, en 1823 ; attaché spécialement à la personne d’Émile Blondet, quand le journaliste y logeait ; douze cents francs de gages. François possédait la confiance et les secrets de Montcornet (Les Paysans).

François, en 1822, conducteur d’une diligence chargée du service de Paris à Beaumont-sur-Oise et appartenant à l’entreprise Touchard. — Il fit à l’aubergiste de Saint-Brice une communication, qui, répétée au fermier Léger, fut pour lui une révélation très utile (Un Début dans la Vie).

Françoise, servante de madame Crochard, rue Saint-Louis au Marais[1], en 1822. — Vieille édentée, en service depuis trente ans. Elle assista aux derniers moments de sa maîtresse ; c’était la quatrième qu’elle enterrait (Une Double Famille).

Françoise, servante des Minard, en 1840 (Les Petits Bourgeois).

Frappart, en 1839, à Arcis-sur-Aube, propriétaire de la salle de bal où se tint, présidée par le colonel Giguet, la réunion électorale dans laquelle fut acclamé le candidat député Dorlange-Sallenauve (Le Député d’Arcis).

  1. Aujourd’hui, rue Turenne.