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L’ANGLAIS.




Napoléon venait de s’écrouler ; le temps n’était plus où « l’on voyait la poussière de ses pieds empreinte sur le bandeau des rois ! » Maintenant c’était le cheval du Cosaque qui piaffait sur son auréole de gloire.

J’étais alors un tout jeune homme, et la gloire militaire était pour la jeunesse de cette époque ce qu’est la liberté pour celle d’aujourd’hui. Ne voyant rien au-delà de cette humiliation passagère, plus féconde peut-être pour le pays que nos longs succès, mon patrio-