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entre les hauts fûts desquels je poursuis ma route accroissent d’ombre la nuit. C’est l’heure où l’on commence à voir les mouches à feu, lares de l’herbe. Comme dans la profondeur de la méditation, si vite que l’esprit n’en peut percevoir que la lueur même, une indication soudaine, c’est ainsi que l’impalpable miette de feu brille en même temps et s’éteint.