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¤w cxuo NO cuoaun. L’herbe d’été · Pousse drue sur la lande, ou ca et la Serpente a travers elle le chemin suivi, dont le terme snrre. Est ici, oui, est ici, En [ce temple de] la paix et de la lumiére (’). Cette splen- [deur lntroublée de la lumiére, ah l comme il faut s'y attacher! cnoaun. { De cette lumiere l’éclat est brillant I Comme celui d'une perle. Aux branches des pins mer- I [veilleux enlacée, fleurit I I snrrz. I Au-dessus de l’étang l’ondulation des glycines s'allon- [geant vers l'été (‘); Cl-l(EUR. · N Elle aussi a la venue de l'Empereur 1 sr-um. Semble s’€gtre préparée. ` cuoaun. Cachées sous les feuilles vertes, les [fleurs des] cerisiers [tardifs I Ont plus de grace méme que les premieres fleurs. Ah l comme tout icl revét un aspect singuliér (‘)! I O merveille! daigne admirer l’Empercur. Oserai-je dire I I I I I I I ° I

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