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I i ig ctwo NO Page 187 : (•) Cette division n’a d’autre raison d’etre que d’indiquer le commencement de la deuxierne partie de la piece au point de vue dramatlque; sceniquement, cette partie ne commence qu‘un peu plus loin. Page 188 : (•) C’est un costume de cour masculin, celui que portait le general de Fukakusa, dont ll evoque le souvenir et materialise pour alnsi dire la presence. (°) Large pantalon dont on relevait Pextremite pour faciliter la marche. (') Voir l’exp1ication de ces mots dans l’Introduction, p. Si-52. Page 189 : (*) L’acteur execute les gestes ct les mouvements que le texte decrlt. (') L’onomatopee du texte imite le brult des gouttes d’eau. et c’est en meme temps un adverbe s’appliquant A la rapidite de la marcbe du general. (•) Cette enumeration n’a d’autre but que d’amener, par le · report- des mots to Yo, · dix nults ··, la mention de la ·fete des lumieres de Pabondance ·, toyo no akari no sechie. Ce nom, qui s’appliquait d’une maniere generale A toutes les fetes de la cour, designait plus speclalement celle qui se celebrait de nuit, A la lumiere des torches, apres le Nibname matsuri ou Shimm- sai, lorsque l’ernpereur, apres avoir goute le riz nouveau, 1e faisait gouter A toute la cour A laquelle il donnait un festin. Pour se rendre A l’endrolt Exe par Komachi qu’il ne devait pas voir, le general a manque cette fete. Les mots ¢ sans la voir • s‘appliquent A la fete et A Komachi. (•) Rappel des soutfrances des derniers moments du general. (•) Komachl est revenue A elle. Page 190 : (•) Citation d’un passage du Dajikyo, petite collection de maximes religieuses et morales composee au rx' siecle par le moine Annen, prlnclpalement A l’aide d’extraits des livres sacres du bouddhisme et des classiques chinols. Elle tut long- temps employee dans les terakoya, ecoles oiivertes par les temples, et d’ailleurs les seules qui existassent autrefols pour