Page:Choix de discours de réception à l'Académie françoise, tome I, 1808.djvu/20

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en leur«nam, lorsqu’ils y parurent pour btpramière fois. > La préoccupation de soi-naiéme dkezeertains hommes fait souventpatte* dans 3’esprit la timidité du coeur, et l’usage dedeux* facukés intellectuelles, affoiUU daas cuie ai* fixation, personnelle reprend toute saei^neéJ^ lorsqu’ils ont à développer le xpéfite d’aiitruL C’est sur-tout dans les discours prononcés A l’Académie frauçoise, que l’on «perçoit 1 influe® ce qu’eut sur : la longue. hrt&uHmt» «ication des gens de lettres-, dns hommes de la Cour, et•. de cens constitués ends* gnité. Monmasns d’une politesse exqtxise> ils «mas révèlent enearé les richesses que les exercices académiques > où æ mêlaient tant de talens divers, pnépattéesit à lè littérature françoise. U.u’yayofe.dgpe les fin* ces aucune distinction^ t) ;chacun y sp* (i)’Àu commencement du dernier siècle, quelques.homme* -formèrent le projet de donner à l^cadémtedea membre» àa* notaires.M. l’atybé de Daugeau, et M,le marepûsdeftangeau son frère, tirent échouer ce projet par leurs sages, remonse fiances à Louis XfV. Les moins^optdenH des A-^adénîîdens itejetèrent une «réation qui fap ftmrtit Assuré des penaioua* pais qui auroit M&sé )a noble iodépeuditnet <le lpw($ frali» WfWSi *