- Quel est donc ce nouveau mic-mac !
- De crainte mon cœur fait tic-tac !
- On me prend pour Rastamagnac !
- Rastamagnac !
- Pour lui quel drôle de mic-mac !
- De crainte son cœur fait tic-tac !
- On le prend pour Rastamagnac !
- Rastamagnac !
- Plus d’embarras, plus de mic-mac !
- De crainte son cœur fait tic-tac !
- Nous tenons donc Rastamagnac !
- Rastamagnac !
Pendant que la musique continue à l’orchestre, parlé.
Qu’on l’emmène !… et qu’on le pende !…
On emmène Marcassou qui traverse le théâtre entre deux soldats.
Ah ! mon Dieu… mais je ne veux pas…
Elle va pour parler à Lastécouères.
Monseigneur… une lettre pour vous…
Une lettre… (Après avoir lu.) Ciel !… qu’ai-je lu !… (Au moment où Marcassou va sortir.) Arrêtez ! (Tout le monde s’arrête. — À lui-même.) C’est lui… Mon procès est perdu !… Comment faire ? (Par inspiration.) Ah ! quelle idée !… (Allant à Marcassou, le prenant par la main et l’amenant sur le devant de la scène.) Cher monsieur, j’ai eu des torts envers vous… oubliez-les…
Mais bien volontiers… Alors, on ne me pend plus ?
Jamais de la vie !… Je vous emmène à mon château où je veux vous donner une fête…